On se dit que très souvent,
Pour échapper à nos tourments,
Qu'il faut se libérer,
Voire se révéler,


Choisir une direction,
Et prendre l'horizon,
Comme ultime but à atteindre,
Comme un corps à étreindre,

Parfois on y arrive,
D'autre fois on dérive,
La tâche a chaque fois recommencée,
Par un désir au goût fade d'ébauché,

Et un jour on rencontre celui ou celle,
Dans un monde réel voire virtuel,
Ce qui aurait dû être notre moitié,
Et qui fait de notre être, l'inachevé.

Delattre Cédric le 29/11/2009

Jamais je n'oublierais ces jours passés,
Ces jours passés a nous aimés enlacés ,
Enlacés dans ces baisers fiévreux et démesurés,
Dans nos corps soudés et soulevés de volupté,


Le temps passe et nous réunis,
On espère encore et on se détruit,
On veut encore parfois y croire,
Mais on s'écrase au désepoir,
On se souvient et on s'éteind,
On se perd dans l'incertain,
Et on se demande quand cela a commencé,
Pour oublier le jour où tout s'est terminé,


Comprenez-moi que mon coeur saigne des larmes d'amour,
Et que mes yeux perlent encore les heures des vrais jours,
Que mes mains en oublient soncorps brûlant,
Ques mes oreilles entendent ses gémissements,
Tout ce qui me rappelle ces doux souvenirs,
Seraient à me^me de me faire mourrir,


La vie ne vaut sans amour et sans haine,
Deux sentiment livrés pour la Gehenne,
A se demander le pourquoi le comment,
j'en ai perdu pour l'être les sentiments,


Croire la reprise un beau jour,
Est-ce possible sans amour,
A se bercer dans les illusions,
On peut y laisser la raison,
La raison de ne plus y croire,
Mélancolie d'un monde noir

Des semaines à attendre,
Que je n'osais entreprendre,
Je ne pouvais plus y penser,
D'avoir vu ton visage s'éloigner,
Encore un hiver a panser mes blessures,
Un été a me guérir sur un ciel bleu d'azur,


Tu as appris a me pardonner,
Et j'ai enfin appris à écouter,
Le feulement de mon coeur en détresse,
La joie de te retrouver dans notre alegresse,
Les jours passent et encore je te contemple,
En te couvrant le corps de mes baisers amples,


Qui n'aurait vraiment penser,
Qu'au sortir d'une ruture hivernale,
Renaisse une fois l'amour si vital,
Que j'ai tendance a l'oublier