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merci de cette remarque, je vais retravailler cet écrit comme il se doit, c'est vrai que la fin de ce poème es
Par pegazuz, le 18.05.2011
il est clair que la tristesse peut se décliner sur plusieurs formes,merci pour ce comentairehttp ://pegazuz.ce
Par pegazuz, le 18.05.2011
j'aime bien ce poème, mais je trouve les deux derniers vers moins équilibrés que le reste. j'aurais bien une i
Par drkaroloth, le 18.05.2011
je sors du blog de "la fille qui pleure", ce joli poème pourrait très bien l'illustrer.ht tp://drkarolot h.cen
Par drkaroloth, le 18.05.2011
vous avez du talent. j'aime beaucoup ce poeme, en particulier !http://http:/ /liru.centerbl og.net
Par Liru, le 04.03.2011
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Date de création : 08.07.2009
Dernière mise à jour :
17.03.2011
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seule, elle pleure sur son amour mort,
mort, son corps n'estplus en or,
or rouillé, sans valeur sentimentale,
sentimentale, dans la douleur s'empale,
s'empale son coeur sur un glaive,
le glaive du grand l'amour bafoué,
bafoué son teint joyeux et délaissé,
délaissé son visage dans le noir,
noir comme la peur d'un soir,
soir qui commence et qui finit,
finit le cheval qui hennit,
hennit la jument dans le vent,
vent qui souffle sur son présent,
présent oratoire qui devient muet,
muet comme un pauvre bênet,
bênet à intellignce faible,
faible mais fort comme un aigle,
aigle qui voit la femme,
femme qui a pure son âme,
âme d'un homme qui arrive,
arrive et se met à rire,
rire avec cette femme qu'il aime,
aime et l'embrasse tout de même.
C'est un jour que cela a commencé,
Une douleur diffuse a peine voilée,
Puis une souffrance allant croissante,
Comme une charge en moi, déchirante,
Tout les jours le même combat,
Contre l'ankylose de mes bras,
Le poids de mes membres endoloris,
Se soulage parfois tel un sursis,
Comprenez que je souffre toujours,
C'est une fatigue de chaque jour,
Que je dois effacer de mes pensées,
Si je veux encore pouvoir m'envoler,
M'envoler vers de nouveaux rêves,
Où les souffrances sont en trêves,
Où les gens comprendraient,
Que ce mal nous effraies.