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merci de cette remarque, je vais retravailler cet écrit comme il se doit, c'est vrai que la fin de ce poème es
Par pegazuz, le 18.05.2011
il est clair que la tristesse peut se décliner sur plusieurs formes,merci pour ce comentairehttp ://pegazuz.ce
Par pegazuz, le 18.05.2011
j'aime bien ce poème, mais je trouve les deux derniers vers moins équilibrés que le reste. j'aurais bien une i
Par drkaroloth, le 18.05.2011
je sors du blog de "la fille qui pleure", ce joli poème pourrait très bien l'illustrer.ht tp://drkarolot h.cen
Par drkaroloth, le 18.05.2011
vous avez du talent. j'aime beaucoup ce poeme, en particulier !http://http:/ /liru.centerbl og.net
Par Liru, le 04.03.2011
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Date de création : 08.07.2009
Dernière mise à jour :
17.03.2011
35 articles
Tenaillé entre l'envie et la colère,
Ecartelé contre la déception,
Comme échoue une mission,
Dans une ambiance délétère,
D'une façon pernicieuse,
Vers une envie vicieuse,
Une situation se débloque,
Où s'écroule comme un roc,
C'est la tendance de nos valeurs,
Qui s'écrase devant nos heures,
On désire ce qui nous fait défaut,
Et rejette ce qui n'est pas nouveau,
On efface ce qui est vieux,
Ou qui ferait des envieux,
Tenaillé entre l'envie et la colère,
Ecartelé contre la déception,
Comme échoue une mission,
Dans une ambiance délétère,
C'est toujours la même redite,
La même erreur que l'on réédite,
On se rend compte de ce que l'on a perdu,
Quand un beau jour on ne le possède plus.
Delattre Cédric le 21/12/2009
Un jour ça va, l'autre non,
Un peu de répit c'est bon,
Bon à prendre quelques heures,
Et s'épancher sur nos pleurs,
On a fait un nouveau choix ce jour,
Et on en fera encore et toujours,
Le meilleur ou le mauvais,
Aucun de nous ne le sait,
Oser changer de vie,
Quand plus rien ne va,
Garder plus que l'envie,
Et penser à demain déjà,
On peut surprendre ses amis,
On peut mentir à notre existence,
Et le faire tout le temps à outrance,
Mais au grand jamais avec déni.
Delattre Cédric le 03/12/2009
Avant-hier, il a plu,
Hier, le sol craquela,
Aujourd'hui on a su,
Que demain,il neigera,
Quoi de plus banal,
En ces temps de fêtes,
Qu'un temps hivernal,
Des pensées bêtes,
Trop bien au chaud chez moi,
Je pense encore avec émoi,
De ce que je vais avoir à Noël,
Qui rendra ma nuit plus belle,
Le monde tourne toujours autour de toi,
Mais il y a des personnes que tu ne vois,
Que tu préfères ne pas y penser,
Où carrément même ignorer,
Il y en a qui détournent leur regard,
Pour éviter leurs yeux hagards,
Ou ceux qui donnent un euro,
Et qui se croient des héros,
Pour une conscience tranquille,
Qu'on estime somme toute futile,
Avant-hier, il a plu,
Hier, le sol craquela,
Aujourd'hui on a su,
Que demain,il neigera,
Le monde s'est arrêté autour de toi,
Et ton image que les gens renvoient,
Te brise le coeur avec effroi,
Dans cet hiver sec et froid,
Il n'a plus la chance d'avoir un toit,
Il a la misère au bout des doigts,
Chaque jour la même rengaine,
Chaque soir c'est la même galère,
S'en sortir sans avoir la haine,
Dans l'indifférence de notre ère,
Comment en est-il arrivé là,
Pour passer de vie a trépas,
En l'espace d'une nuit glaciale,
Sous notre beau ciel boréal,
Dans l'ignorance totale,
Qui me la met très mal,
Arrêtons de nous plaindre quand nous avons,
Arrêtons d'oublier ce que nous savons,
Il suffit que parfois que l'on peste,
Pour que bouge enfin le reste.
Delattre Cédric le 16/12/2009
Marre de ce monde superficiel,
Où se perdent les gens,
Là ou se déverse le fiel,
Le poison qui rend méfiant,
Marre de ceux qui se la joue "star",
Qui font leurs gros malins,
Et nous traitent avec dédain,
Et seront oubliés dès demain,
Car tourne la roue tôt ou tard,
Marre des hypocrites,
Leurs pensées m'irritent,
De leurs façons d'agir et de penser,
Et de leurs conneries mal vissées,
Marre des grands plaignants,
De ces gens dit "feignants",
Quand on possède vraiment tout,
Cela n'inspire que du dégoût,
Marre de ce monde artificiel,
Dans la tourmente démentielle,
Celle qui nous fait perdre la raison,
Et résonne comme une oraison,
Content des gens vrais et sincères,
Encore pour longtemps je l'espère,
Car dans cette existence parfois morose,
Fleurissent toujours de très belles roses.
Delattre Cédric le 19/11/2009
Faire une chose qu'on n'oserait pas,
Pour ne pas passer de vie à trépas,
Et croire en une deuxième chance,
Là où notre deuxième vie commence,
Chaque jour on y pense,
Cela devient vraiment obsessionel,
On y rêve de façon démentielle,
Comme un sorte de transe,
Vivre avec des remords,
Bien avant notre mort,
Où alors en profiter,
Sans culpabiliser,
Ou mourir avec des regrets,
Pour ne pas avoir entrepris,
Ce que l'on nous avait promis,
Parce que l'on était pas prêts.
Delattre Cédric le 11/11/2009
Savoir d'où l'on vient,
Savoir où l'on s'en va,
Revenir sur ses pas,
N'avoir peur de rien,
Quelle peur, celle qui fige,
Où celle que l'on s'oblige,
Celle qui nous prends en tenaille,
Qui crève notre coeur et l'entaille,
La preuve d'une vérité blessante,
Face aux questions désarmantes,
Souvent sans réponses en soi,
Et on se dit souvent:"pourquoi",
Les jours passent semblables,
Mais les questions restent,
Avec l'attente misérable,
Qu'on espère ou qu'on déteste,
Et parfois l'attente se tait,
Et la réponse enfin apparait,
Le jour ou l'on sait,
Qu'on a été adopté(e).
Delattre Cédric le04/11/2009
De nos cinq sens quel est le plus précieux,
Entre envie et désir qu'est ce qui est mieux,
Par le toucher ce que l'on ressent,
Prends l'ampleur de nos sentiments,
Une peau douce et sucrée,
Un muscle dense et renflé,
Par l'ouïe ce que je perçois,
Un son ennuyeux qui me déçoit,
Ou une voix qui m'est familière,
Sur une tonalité si sincère,
Par l'odorat de ce que je sens,
Mille odeurs passent par moments,
Des instants parfumés à l'encens,
Qui guérissent les vrais tourments,
Par le goût de ce qui m'entoure,
Des victuailles de tout les jours,
Qu'on déguste ou avale sans détour,
Et appréciables sans aucun recours,
Par mes yeux qui admirent,
En ce bas monde souvent si beau,
Des pleurs et des rires,
Pour écrire encore mes idéaux.
Delattre Cédric le 12/10/2009
Ca démarre de rien, juste comme ça,
Et continue dans cette direction-là,
On s'en prends aux autres pour rien,
Et on les traite comme des chiens,
On s'emporte pour si peu de choses,
De ce qui rend nos vies moroses,
Et on finit par regretter,
Ces paroles lancées,
Ce venin malsain et abject,
Telle une injure qui s'éjecte,
Qui sort de notre bouche,
Et s'étale en une couche,
Obstiné, et à tort ou à raison,
On aperçoit a peine l'horizon,
De cette mauvaise conseillère,
Qu'est la colère et ses oeillères.
Le 30/07/2009
Soirée
Sur une lueur crépusculaire,
Dans un ciel bleu d'hiver,
Les milles reflets orangés,
Se perdent dans la nuée,
Sous les volutes des ombres fumées,
Se découpe un horizon déchiré,
Comme un dessin raté d'enfant,
Même si on le trouve élégant,
Un paysage sur un soir sauvage,
Où sur un océan de naufrages,
Passe l'imagination fantastique,
Pour une création féerique.
Ecrit par Cedric
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