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merci de cette remarque, je vais retravailler cet écrit comme il se doit, c'est vrai que la fin de ce poème es
Par pegazuz, le 18.05.2011
il est clair que la tristesse peut se décliner sur plusieurs formes,merci pour ce comentairehttp ://pegazuz.ce
Par pegazuz, le 18.05.2011
j'aime bien ce poème, mais je trouve les deux derniers vers moins équilibrés que le reste. j'aurais bien une i
Par drkaroloth, le 18.05.2011
je sors du blog de "la fille qui pleure", ce joli poème pourrait très bien l'illustrer.ht tp://drkarolot h.cen
Par drkaroloth, le 18.05.2011
vous avez du talent. j'aime beaucoup ce poeme, en particulier !http://http:/ /liru.centerbl og.net
Par Liru, le 04.03.2011
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Date de création : 08.07.2009
Dernière mise à jour :
17.03.2011
35 articles
Un regard , avide d'amitié,
Un visage remplit d'humilité,
Un caractère bien affirmé,
Une confiance si affinée,
De son corps effilé pour la vitesse,
Se dégage une vraie tendresse,
Quelque chose qui nous fait aimer,
Cet être sympathique et particulier,
Que ne peuvent comprendre que quelques-uns,
Et se sentir bien en tant qu' êtres humains,
La crinière dans le vent et galopant,
Tu rejoins dans sa course folle Eole,
Tel un Pégase prenant son bel envol,
Tu défies tel un symbole le temps,
Noble conquête de l'homme par le passé,
Certains ne pourront à jamais l'oublier,
Tout son mérite est d'être aimé et respecté,
Pour les joies que tu pourras apportées.
19/03/2009
Un léger son bizzare et bourdonnant,
Se laisse entendre un court instant,
Là-haut dans ce coin de bleu,
Virevolte un être bienheureux,
Un être aux rayures verticales,
Une abeille dans toute sa hâte,
Dans l'espoir de retrouver sa pitance,
Sur un pistil d'une fleur, une semence,
De la couronne pourpre a jaillit,
Le précieux nectar convoité
Par une ouvrière dévouée,
Au-travers des piques adoucies.
11/09/2008
Sur un fil de soie en rosée,
Sur un mur sale et fissuré,
Quelque part dans un bois,
Où une coquille de noix,
Tel sur le grand fil d'Ariane,
Comme une fleur qui se fane,
Se tissent les liens de la mort,
Qui sortent de cet être si fort,
De son corps mou et velu,
Et de ses pattes crochues,
Elle englobe ses proies,
Qui périssent d'effroi,
Un être si laid et repoussant,
Mène un grand combat incessant,
Celui de la survie de l'espèce,
Qui se renouvelle sans cesse.
01/09/2008
Quand tu t'envole à tir-d'ailes,
La terre me semble si belle,
Tu vas et tu viens et puis repart,
Sur le sentiment de mes remparts,
De tes yeux malicieux,
Tu as scruté les cieux,
Et dans ta course folle,
Tu as rencontré Eole,
Quand sur mon épaule tu atterris,
Mon espace d'un coup rétrécit,
Puisqu'il n'y a plus que toi,
Tout seul autour de moi,
Avec tes ailes d'anges dévêtues,
Et de ton orgueil a peine entrevu,
Tu es devenue assez vite,
Mon amie perruche callopsitte
De ses pas ébranlant le sol,
Il poursuit sa course folle,
Velle de la longue migration,
Vers une autre terre de nation,
Puissant être de la terre,
Image de la force du père,
Il règne sur la savane,
D'où passent des caravanes,
Ses défenses recourbées,
Sont des objets convoités,
Qu'avec un coup de fusil,
On lui arrache la belle vie,
Devenu inconcevable,
Mais cependant pitoyable,
D'être écrasé et broyé,
Par un animal traqué,
Paisible colosse amiteux,
Et adjudvant vertueux,
Tu deviens aidant l'humain,
Une aide a ses deux mains.
Fatal, frontal, délicat par l'envol,
Une course folle donnée par Eole,
Un planeur dans les airs,
Une beauté à parfaire,
Un air majestueux et si fier,
Sur la courbe d'une rivière,
Portant nos étendards blafards,
Sur nos nuisibles cauchemards,
Rongeurs, cafards et autres bêtes,
Tu leurs a fait perdre la tête,
Prédateur ou simple charognard,
En toi, la ruse de maitre renard.